Et pourtant, le Tribunal de Grande Instance de Paris vient de débouter Michèle Topper, qui demandait l’interdiction à l’antenne des canulars téléphoniques réalisés par son homonyme masculin Michel Topper. Directrice d’une entreprise de vente de meubles baptisée Topper Expansion, Michèle Topper estimait que la diffusion des canulars portait préjudice à sa société et avait des retombées commerciales négatives sur son activité.
Le juge a estimé que les canulars réalisés par Maurad Dif, sous le pseudonyme de Michel Topper placent « des interlocuteurs plus ou moins dupes dans des situations inattendues, burlesques ou absurdes », et que de ce fait, il ne pouvait y avoir de confusion dans l’esprit d’un auditeur « d’attention et d’intelligence moyenne ». Histoire d’en rire…
Les canulars téléphoniques de Michel Topper sont diffusés par Rire & Chansons à 6h30, 8h30, 12h30 et 18h30.