Ce dernier s’étonne « de la publication prématurée d’extraits du prochain rapport annuel de la Cour des Comptes, » et déplore que « l’extrait relatif à l’INA, qui concerne la période 1991-1998, n’ait pas été accompagné de la réponse faite par l’entreprise. » Concernant le recentrage des actions de l’INA, Francis Beck note que, portant sur la période 1991-1998, le contrôle de la Cour n’a pas pu prendre en compte les efforts énergiques de restructuration et de redressement engagés depuis 1999 ainsi que les perspectives ouvertes en 2000 par la mise en place de la nouvelle loi sur l’audiovisuel, redéfinissant clairement les missions de l’INA.
D’autre part, concernant le financement des activités commerciales par les ressources publiques, Francis Beck souligne « qu’à l’exception de la SFP et de TDF, cette situation est commune à toutes les sociétés de l’audiovisuel public, dont le statut commercial s’accommode de ressources publiques variant en 2000 entre 59 et 99% de leur budget. »
Enfin, Francis Beck explique que « la réflexion stratégique menée par l’INA en 1998-99 a conduit à l’adoption d’un plan stratégique le 16 septembre 1999, qui consacre la priorité absolue accordée à sa mission patrimoniale dans sa double dimension culturelle et commerciale. »
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