C’est face à la Cour Supérieure de Californie (à Los Angeles) que Dominic Aldridge a accusé Coolio, ainsi que trois labels, de fraude et de rupture d’engagements oraux et écrits.
Le producteur et parolier, aussi connu sous le pseudonyme de Romeo, a participé à la production de quelques chansons du rappeur, service pour lequel les accusés n’auraient pas tenu leurs engagements. Ainsi Coolio, Atlantic Records, Tommy Boy Records (et son président Tom Silverman) et Priority Records se retrouvent mélés à un procès où le montant des dommages, évalués par Aldridge, atteint la somme d’un million de dollars. Sur le sujet, les labels restent d’ailleurs peu loquaces : Priority n’a pas fait de commentaires et les deux autres n’ont pas répondu aux questions.
Des petits soucis judiciaires pour l’artiste qui arrivent quelques mois avant la sortie d’un prochain album, prévu d’ici la fin de l’année.