S’il n’y a pas de textes législatifs sur la gestion électronique des droits d’auteur, en revanche plusieurs sociétés privées et non des moindres, se penchent avec attention sur la gestion collective électronique des droits voisins avec des systèmes DRM (Digital Rights
Management) appropriées. Cela pourrait, à terme, mettre en danger voire supprimer certaines sociétés de répartition de droits, ne leur laissant plus que le rôle de promoteur-distributeur.
Il reste que les DRM ne peuvent pas gérer les accords complexes et difficilement la confidentialité. D’autre part, la plupart des sociétés qui développent les DRM connaissent des difficultés financières à l’exception bien sur de Microsoft. A suivre…